Malgré la crise, Vinci a bien resisté en 2009 et cloture l'année avec un chiffre d'affaires consolidé de 31,9 milliards d’euros, soit une baisse de 4,6% par rapport à l'année précédente. Détail par activité.

Dans les concessions autoroutières, une reprise du trafic des véhicules légers a été constatée à partir du second trimestre permettant de compenser un trafic poids lourds toujours affecté par le ralentissement de l’activité industrielle.

Solide

Dans les métiers de contracting, la diminution des prises de commandes (dûe majoritairement à la baisse des marchés du bâtiment en Europe) a pu être limitée grâce à de nouveaux projets d’infrastructures, notamment à l’international.
 
Le modèle « concessionnaire-constructeur intégré » fait donc ses preuves, conclut le groupe. Vinci tire parti des acquisitions réalisées ces dernières années, notamment celles de Soletanche-Bachy, Entrepose Contracting, Etavis et ETF-Eurovia Travaux Ferroviaires.

Laurent Perrin