SNCF Réseau pourrait devoir verser 400 millions d’euros à Bouygues et Eiffage
Selon le quotidien Le Figaro, Bouygues et Eiffage réclament plus de 400 millions d’euros supplémentaires à SNCF Réseau pour la construction de deux lignes TGV : celle reliant Le Mans à Rennes et le contournement ferroviaire Nîmes-Montpellier. Des experts seront chargés de déterminer si les travaux doivent être payés ou non par SNCF réseau. Le verdict sera rendu au printemps.
Les groupes de travaux publics Bouygues et Eiffage réclament pas moins de 400 millions d’euros supplémentaires à SNCF Réseau pour des travaux qu’ils réalisent actuellement sur des lignes TGV, a affirmé ce mercredi Le Figaro.
Bouygues, qui réalise le contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier pour 2,3 millions d’euros « réclame plus de 200 millions d’euros supplémentaires à son commanditaire, SNCF Réseau, pour des travaux non prévus dans l’accord », a indiqué le quotidien. Des sources proches du dossier auraient notamment fait référence à un pont plus long qu’initialement envisagé.
De son côté, Eiffage, bénéficiaire d’un contrat à 3,3 milliards d’euros pour la ligne TGV reliant Le Mans à Rennes, sollicite près de 200 millions d'euros supplémentaires à la société.
Selon Eiffage, cité par Le Figaro, « comme le trafic de fret sera plus faible qu'imaginé au début, on nous a demandé de mettre de l'inox sur les rails pour éviter qu'ils ne se grippent. Cela a un coût ».
Les réclamations feront l’objet de procédures, prévues dans les contrats. Des experts seront nommés afin de déterminer si les travaux doivent être payés ou non par SNCF Réseau. Le verdict sera dévoilé au printemps prochain.
R.C (Avec AFP)
Bouygues, qui réalise le contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier pour 2,3 millions d’euros « réclame plus de 200 millions d’euros supplémentaires à son commanditaire, SNCF Réseau, pour des travaux non prévus dans l’accord », a indiqué le quotidien. Des sources proches du dossier auraient notamment fait référence à un pont plus long qu’initialement envisagé.
De son côté, Eiffage, bénéficiaire d’un contrat à 3,3 milliards d’euros pour la ligne TGV reliant Le Mans à Rennes, sollicite près de 200 millions d'euros supplémentaires à la société.
Selon Eiffage, cité par Le Figaro, « comme le trafic de fret sera plus faible qu'imaginé au début, on nous a demandé de mettre de l'inox sur les rails pour éviter qu'ils ne se grippent. Cela a un coût ».
Les réclamations feront l’objet de procédures, prévues dans les contrats. Des experts seront nommés afin de déterminer si les travaux doivent être payés ou non par SNCF Réseau. Le verdict sera dévoilé au printemps prochain.
R.C (Avec AFP)
