Appréciez les effets secondaires de la brique de terre cuite !
En France, en 2015, un logement sur trois est construit en briques terre cuite. Le matériau a consolidé sa position depuis 10 ans grâce notamment à ses performances thermiques, la brique terre cuite a permis de répondre aux exigences de la RT 2012 en toute sérénité. La brique de terre cuite continue de répondre aux exigences croissantes en matière de construction. |
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Un T3 en bonus… |
Grâce à la performance thermique de la brique terre cuite, en comparaison avec une solution en maçonnerie courante, on peut compter sur un gain de 3 % au minimum de surface habitable supplémentaire. Les performances thermiques naturelles de la terre cuite et le travail sur la géométrie des produits ont permis de multiplier par 3 la résistance thermique de la brique en 20 ans. La brique à isolation rapportée, si elle ne dispense pas de poser une isolation intérieure, permet d'en réduire l'épaisseur, et c'est autant de mètres carrés de plus pour l'espace intérieur du logement. D'après cette même étude, sur un immeuble à usage collectif de 2000 m2 SHAB, soit 34 logements, réalisé avec des briques de 20 cm à R=1 m2.K/W, la brique terre cuite permet de gagner 60 m2 supplémentaires, en plus d'un éventuel bonus de constructibilité. « C'est l'équivalent d'un 3 pièces en plus créé» a souligné Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la FFTB, à l'occasion de la publication de l'étude. |
Des performances égales quel que soit le climat |
Cette étude, réalisée sur 8 zones climatiques, démontre aussi que la brique terre cuite est compatible avec les critères de l'excellence énergétique ou environnementale définissant les « bâtiments exemplaires » quels que soient l'usage et l'énergie du bâtiment, ceci, même avec une résistance thermique de la brique prise pour l'étude à R = 1 m2 .K/W alors qu'il existe des briques de 20 cm d'épaisseur à plus haute résistance thermique. Des arguments de poids et de bon augure pour relever le défi E+C- . |