Le concept de rupture de pont thermique, aujourd’hui bien connu des professionnels de la construction, consiste à traiter les points faibles de l’isolation d’un bâtiment. Dans le cas d’un plancher bas (vide-sanitaire ou garage par exemple), la retombée de poutre RECTOR PSR 20x20 gagne ainsi fortement à être isolée, générant un gain entre 1 et 3 % de la consommation d’énergie totale de la maison.

Le rupteur ThermoPoutre se met en œuvre en finition, après la pose du plancher, le bétonnage et l’enlèvement des étais. Il suffit d’emboîter les rupteurs successifs jusqu’à obtention de la longueur de la poutre PSR. Une découpe verticale peut être réalisée, si nécessaire. La fixation du rupteur ThermoPoutre s’effectue par collage, à l’avancement, à l’aide de mortier colle.

Le gain sur la déperdition thermique du plancher bas de la Thermopoutre par rapport à un refend en maçonnerie, en fonction de la surface du plancher, est de 67 %. On passe ainsi d’une perte linéique de 0,39 W/m2.K à 0,13 W/m2.K pour le rupteur Thermopoutre.

Le gain généré par cette isolation renforcée représente entre 1 et 3 % de la consommation d’énergie totale de la maison. Pour des gains plus importants, RECTOR recommande l’association du plancher RectoSten avec les rupteurs de pont thermique ThermoSten et le rupteur ThermoPoutre. Composé d’entrevous en polystyrène expansé, le plancher léger RectoSten bénéficie de multiples avantages : une mise en oeuvre rapide et simplifiée, moins de fatigue pour les opérateurs, et une bonne isolation thermique.

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B.P